Marvel's Spider-Man : Silver Lining, la critique du troisième DLC

Il n'y a pas deux sans trois. Après avoir joué aux deux précédents chapitres de la série DLC intitulée La ville qui ne dort jamais, la critique de Silver Lining nous amène à l'épilogue définitif de Marvel's Spider-Man. Comme promis, Insomniac Games a en effet publié sur PlayStation 4 le nouveau contenu supplémentaire juste à temps pour Noël, respectant ainsi le calendrier annoncé il y a des mois. Dans un New York qui s'est depuis longtemps libéré de Kingpin et Sinister Six, il est temps pour notre sympathique Spider-Man de se réconcilier avec Hammerhead, un gars vraiment dur à abandonner. Il ne nous reste plus qu'à enfiler le costume, pour nous préparer à filer tous ensemble pour la dernière fois parmi les gratte-ciel de Manhattan.



Marvel's Spider-Man : Silver Lining, la critique du troisième DLC

Trophées PlayStation 4

Comme ses deux prédécesseurs, Silver Lining présente un total de six trophées supplémentaires à Spider-Man de Marvel. Leur subdivision s'est également faite de la même manière, avec le seul type Or pouvant être obtenu simplement après avoir terminé la partie du DLC consacrée à l'histoire. Pour collecter tous les autres, vous devez accomplir des missions spécifiques, ainsi que vous occuper des défis de l'omniprésent Screwball.

L'intrigue : Hammerhead de retour au bureau

Le DLC Silver Lining commence là où s'est terminé son prédécesseur Territoires disputés (notre critique ici), à savoir avec le méchant principal Hammerhead vaincu mais pas définitivement neutralisé. Après s'être remis, le patron continue son travail de ramassage des armes laissées par Sable International à New York suite aux faits racontés dans le jeu de base, parvenant ainsi à améliorer considérablement l'équipement de leurs sbires. Aussi bien que Chat noir avait été le protagoniste incontesté du premier DLC The Robbery puis être mis de côté dans la transition vers le deuxième package, après avoir été une figure importante de Contesi Territori Youri Watanabe quitte la scène, pour laisser la place à un nouvel assistant pour notre Spider-Man. Il s'agit évidemment Argent Sable, est retournée en ville pour empêcher Hammerhead de voler ses technologies. Sans entrer dans trop de détails, nous disons simplement que l'intrigue s'enfuit sans bouleversements particuliers du point de vue narratif, ajoutant encore quelques heures au compteur de temps de jeu global. Certains problèmes comme celui lié à Yuri Watanabe sont liquidés un peu rapidement, pour laisser place à la préparation d'un épilogue qui déjà après les premières étapes du jeu est assez prévisible. Poursuivant les similitudes avec les DLC précédents, dans Silver Lining c'est encore une fois la co-star qui frappe le plus : dans le cas de Silver Sable, le dernier chapitre reprend la relation ennemis/amis entre le super-héros et le mercenaire, forcé s'allier pour vaincre la version améliorée de Hammerhead. La dynamique de la relation entre Spider-Man et Silver Sable passe par les barreaux inévitables du premier, mettant le second en mesure de donner de la profondeur à son interprétation en passant par un petit moment de croissance. Quant à Hammerhead, nous devons confirmer ce qui a été dit dans le DLC précédent : le méchant de service continue de manquer du charisme nécessaire pour faire de lui un méchant redoutable, supprimant ainsi la morsure même du combat final lui-même.



Le gameplay : place à l'action

Pour préparer le joueur à une confrontation avec Hammerhead, Silver Lining déplace son se concentrer sur l'action pure. Les dynamiques de jeu plus raisonnées, comme celles dédiées aux petites énigmes, sont donc (presque) définitivement mises de côté. Les unités ennemies spéciales vues dans les chapitres précédents reviennent une fois de plus, déclenchant une série d'armes de haute technologie capables d'engager même le joueur Spider-Man de Marvel le plus talentueux. Entre les grosses mitrailleuses, les boucliers, les fouets et jetpack il y a vraiment de quoi s'inquiéter, et de fait le niveau de challenge présenté à certains moments se confirme être assez élevé. Ceux qui espéraient voir quelque chose de nouveau resteront donc bouche bée, mais à gagner, c'est le caractère spectaculaire des actions que l'on se retrouve à accomplir dans le rôle de Spider-Man : entre combats aériens pour arrêter les ennemis équipés de jetpacks et usages habiles de la toile d'araignée. pour nous enlever. ne vous inquiétez pas, il n'y a vraiment pas besoin de s'ennuyer. Certaines scènes sont parmi les plus excitantes parmi celles que nous avons eu l'occasion de réaliser jusqu'à présent, soulignant ainsi le choix d'Insomniac Games de se concentrer sur l'action avec ce DLC. Les activités secondaires comprennent les activités habituelles Cinglé organiser des jeux diaboliques, ainsi que nettoyer les cachettes des hommes de main de Hammerhead dispersés dans tout New York. Il y a aussi de nouveaux costumes à débloquer, dont un dédié à la trilogie cinématographique signée par Sam Raimi. Pour conclure les considérations sur le trio de contenus proposés par La ville qui ne dort jamais, même si l'épilogue n'est pas aussi fort que prévu, il faut dire que le retour à New York valait le prix total du billet. Le premier chapitre The Robbery (ici notre critique) reste ce qu'on a le plus aimé : on ne veut pas Hammerhead ou Silver Sable si on tombe amoureux de Black Cat.



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PRO

  • Le contenu de Marvel's Spider-Man se termine avec dignité
  • Bonne caractérisation de Silver Sable
  • Beaucoup d'action pour se vautrer...
CONTRE
  • ... au détriment d'autres activités
  • Hammerhead manque toujours de charisme
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